Une nouvelle séance.
Ce matin le ciel est gris, il pleuviote. Réveil difficile, je sors, à moto, peu motivé.
Nous sommes 10 sur le bateau. On file, toujours sous la pluie, vers l’île de Riou et la pointe de Caramassaigne, où on espère être un peu protégés de la houle. Ça bouge. On se décale vers le grand Congloué.
Nous sommes 10 sur le bateau. On file, toujours sous la pluie, vers l’île de Riou et la pointe de Caramassaigne, où on espère être un peu protégés de la houle. Ça bouge. On se décale vers le grand Congloué.
L’eau est à 15°, remplie de méduses. Je n’ai pas tellement envie de m’immerger.
On se cale sur la bouée, première profondeur à 7m. Ça descend mais aucune sensation. Seconde profondeur 10m. Ça passe une fois, à la seconde descente l’oreille gauche ne compense pas. La troisième fois je me sens court en air, je n’arrive pas à me détendre.
Bon. Ça semble être un jour sans.
Les méduses ont disparu. La longe est descendue à 15m, puis 20m. Je ne dépasse pas 10/12m. Je me sens comprimé en surface, avec les poumons peu mobiles, je n’arrive pas à prendre une grande respiration.
Je finirai tout de même avec une apnée à 15m avec quelques bonnes sensations de relâchement et de plaisir.
J’ai froid, je remonte sur le bateau. Trois sont déjà remontés, le reste arrivera peu après.
Pas d’exploration aujourd’hui : tout le monde a froid, certains ont le mal de mer. On rentre.
J’avais un nouveau moniteur : j’ai tout de même appris quelques nouvelles techniques pour me sentir plus en sécurité et m’améliorer.
Après 3 sorties apnée, cette épreuve pour le niveau 4 me semble maintenant tout à fait accessible.
Sur le retour on voit plusieurs bateaux le spi grand ouvert, qui font une régate. Belle image avant le retour au port.