J’affine mon guidage de palanquée.
Ce matin, je croise une voisine dans l’ascenseur qui me voit avec mon gros sac de plongée.
Elle me souhaite de bonnes vacances !! Ca ferait presque envie… Je suis parti juste avec mon sac, aux Maldives.
Retour à Sausset, chez Thierry. Aujourd’hui on simule un élève qui arrive avec quelques plongées et qui n’a pas mis le pied dans l’eau depuis 4 à 5 mois. C’est Claire qui sera le cobaye.
Je fais mon briefing, il manque encore quelques bricoles mais c’est de mieux en mieux.
Je me jette dans l’eau, encore glaciale (13°).
On descend tranquille et on se promène dans les 15, 20m. On déniche peu de chose, l’eau est trouble et même si le soleil est sorti en surface, au fond on ne voit pas des masses.
Claire est formatrice bio, au final c’est elle qui me fera une leçon au fond ! J’ai appris des trucs pour les futurs plongeurs que j’accompagnerai.
Elle trouve un tuba plein de concrétions. Elle le ramasse, il ira à la poubelle.
Au bout de 35 minutes, Claire me signale qu’elle a très froid, bien qu’elle soit en combinaison étanche. Je signe la fin de la plongée. On remonte doucement. Je sors le nouveau parachute, à soupape, que Cécile m’a prété.
Premier essai de gonflage, raté. Second, raté.
Mais c’est quoi ce parachute qui ne se gonfle pas ? Troisième essai réussi. Le parachute file vers la surface. Et je me rends compte que le fil est tendu en oblique. Il y a du courant ! Je tire, le fil casse. Le plomb qui le leste restera au fond. Perdu.
Ca tombe bien, je voulais le remplacer par un dévidoir. Dommage pour la mer qui sera polluée par mon plomb …
Il faudra que je surveille le prochain gonflage. Parce que je le trouve pas mal, ce parachute, et je pense qu’il me conviendrait.
On sort de l’eau à 100m du bateau. Comme d’habitude, je me suis perdu. L’orientation n’est vraiment pas mon point fort.
Prochaines plongées prévues, 07 et 08 mars. Le w.e. prochain c’est relâche. J’ai besoin de souffler.