Funchal

Des hauts et des bas.

Après une bonne grasse matinée, visite de Funchal.

Le parking, un vrai trésor ici où il n’y a pas de places, est gratuit le dimanche. J’arrive devant la mairie et une voiture libère une place au même moment. L’Univers continue à gérer 😁.

C’est la fête des fleurs, tout le mois de mai. Baraques, exposition et parterres. J’en prends plein les yeux.

Une des baraques propose du vin de Madère. Je fais une dégustation. Sec, demi-sec, demi-doux, doux. J’ai appris des trucs !

Je flâne un peu dans les rues, touristiques ou non, puis au bord de mer. Je croise Colomb et Baden-Powell

Ici les taxis sont jaunes, comme à New-York. Et les boîtes aux lettres ont deux couleurs, en fonction de l’urgence du courrier, rouge ou bleu. Bizarre.

Puis je prends le téléphérique pour monter à Monte et avoir une belle vue de toute la ville. Là-haut, il fait frais et c’est très vert. Je visite l’église locale : d’en haut, vue parfaite.

J’avais pris un billet sans retour, je voulais faire la descente en traîneau. Mais ils sont fermés le dimanche. Ça aurait été fun. Une caisse en osier, pas de volant, pas de frein pour descendre de cinq cent cinquante mètres à zéro 🤪

Je repars en bus. Les routes sont tellement étroites et pleines d’épingles, que deux véhicules ne se croisent pas. Ça sera la première fois de ma vie que je verrai un bus faire marche arrière, en montée, sur plus de trois cents mètres !

Dans les rues touristiques il y a de nombreuses peintures sur les murs. Ça me plaît.

Ce soir, sur les conseils de Joana, un des meilleurs restaurants de la région : un truc perdu dans la montagne, essentiellement fréquenté par les locaux.