Après un petit repas terminé par une mousse chocolat/cerise, on reprend la mer.
20 minutes de navigation et on arrive sur un site au nord de l’île de Port-Cros appelé “la galère”.
Le site porte mal son nom. La mise à l’eau est facile, il n’y a pas de courant dans la baie et l’eau est toujours aussi chaude (15 degrés).
Cette fois pas de mérous mais beaucoup de vie autour de la pointe de l’île. Une énorme écrevisse (estimée à la longueur de mon coude au bout de ma main) planquée à 30 m dans un recoin, un lièvre de mer, un gros chapon, deux énormes murènes, dont une en pleine eau, un congre dans son trou … c’est le festival.
J’arriverai même à dénicher un œuf de roussette. Je n’en avais pas vu depuis bien longtemps.
J’en prends plein les yeux encore une fois, pendant 54 minutes.
Je tire mon parachute. Succès total : dévidoir maîtrisé, montée du parachute parfaite. Je m’accroche à 4 m et je fais mon palier à côté du bateau.
Demain je retourne plonger sur Port-Cros et mercredi je retourne voir le Grec (Voir Un grec sinon rien).
Planning parfait.
