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Marseille, c’est parti

Départ sous le soleil.

L’aéroport de Marseille, pour les vols hors Europe, c’est devenu un cauchemard.

Le dépôt de bagages chez Turkish Airlines a pris plus de trente minutes alors que j’avais seulement cinq personnes devant moi. Le gars était incroyablement lent. Bon qu’importe, j’avais pris un peu d’avance dans le planning.

Puis j’arrive au contrôle de sécurité. Une file monstre et là aussi un gars d’une lenteur extrême. D’autant plus que dans ma valise cabine je mets mes détendeurs et mon ordinateur de plongée, donc, en général, la valise est ouverte pour contrôler …
Banco, je récupère mes autres affaires et je vois ma valise déroutée après … 8 autres !!!! Là, le planning commençait à se tendre.

Et voilà que le gars ouvre tranquillement un sac, enlève avec précaution toutes les affaires, regarde son écran, parlemente avec la passagère. Ça n’en finissait plus. Dix minutes pour un seul sac, je rate mon vol, c’est certain.

Et miracle, au bout de deux sacs, une jeune femme dynamique le remplace et en un tour de main ma valise est fouillée et refermée.
Et bien sûr, j’avais oublié ce détail : comme je sors de l’espace Shengen, attente à nouveau pour le contrôle des passeports.

Je parviens finalement à ma porte d’embarquement pile à l’heure. Ouf.

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