Madère c’était aussi ça.
Dès l’aéroport de Funchal on annonce la couleur. Ici c’est pinard !
Mon second vol aller était opéré par la compagnie Edelweiss. Il y en avait un gravé, au fond du verre. Le détail qui tue !
Tout est en pente à Madère et le moindre espace est utilisé. Dans le bâtiment où je réside même certaines places de parking sont en pente.
Comme partout, l’île a son nom en grand.
Il ne faut pas oublier, même si on n’aime pas le football, que Ronaldo est né à Madère.
Chez Viola, au dessert un cheesckase aux fruits rouges. “Frutos vermelhos”, prononcez “Froutouch vermelouch” 😂 Ils sont fous ces portugais !
Devant quasiment tous les passages piétons, il y a une ligne blanche, comme un stop. Intelligent.
Peu de gros cubes. Mais devant le restaurant Viola une Aprilia et, dans mon garage, un soir, trois bécanes de location (garées en pente). Un Gex, dans le parking du Carlton. Sinon, plein de scooters. Pratique pour se garer.
J’ai vu passer une espèce de caravelle, au moteur, tous les jours, dans la baie. C’est un des promènes couillons locaux.
Code de la route : j’ai découvert un nouveau panneau. S’il pleut, tu vas au max. S’il fait beau, tu peux aller encore plus vite.
Du coup j’étais à fond tout le temps 🤣. J’interprète bien ?
Ici, il y a des routes en deux fois deux voies aussi belles que nos autoroutes. Limitées à quatre-vingts, ou quatre-vingts-dix (pas compris pourquoi la différence), parce qu’il y a plein de virages et que ça monte et descend avec des pentes d’au moins dix pour cents. Des tas de locaux roulent à plus de cent-vingt.
J’ai lu sur un site “il faut savoir que les portugais roulent très vite.” Je confirme.
Du coup j’ai passé la configuration de la voiture de “Eco” en “Sport” dès le deuxième jour et j’étais à fond tout le temps.
Il y a un Christ sur un promontoire. On pourrait se croire au Brésil.
Il se mérite : deux cent vingt quatre marches.
Devant l’hôtel Carlton il y a des trikes pour balader les touristes.
Le Carlton a deux parkings. Un payant, premium (un des rares endroits plats que j’ai pu voir), l’autre gratuit, pour les visiteurs. J’allais toujours au second. Le dernier jour il était plein. Pas le choix, garé au premium. Moins de six euros la journée. Grave pas cher 😁.
J’adore le système pour gonfler les pneus. Tu indiques la pression voulue, tu maintiens le bitoniau, ça gonfle tout seul et ça bipe quand la pression est atteinte. Bien plus pratique que ce qu’il y a en France. Pourquoi on n’a pas ça partout ?
Après trois jours de plongée, plus aucune sensation désagréable dans le bas du dos. Conclusion : je devrais plonger plus souvent, mon corps me fait payer le manque de régularité. Ça me semble le bon diagnostic.
J’ai fait médecine 😅
J’ai adoré la chaîne sur les hits inconnus des années soixante-dix. Les chorégraphies et tenues des Boney M ou de Ottawan sont inénarrables. Les tenues de ski m’ont fait pleurer de rire.
Ricardo est non seulement moniteur de plongée mais aussi gérant de contrats pour Altice. Et en plus il récolte des bananes et les commercialise ! Comme il m’a expliqué : “j’ai une maison et un fils, ça coûte.”
Il nous a offert pleins de bananes toute la semaine. Délicieuses.
Quelque soit l’endroit d’où on regarde, l’océan est splendide 🤩
Izzie, diminutif de Isabel, et non Élisabeth comme je le pensais, m’a écrit au bout d’une semaine. Elle va bien et j’ai quelques photos d’Elvis (et moi).
Lors de l’exposition de voitures anciennes, j’ai apprécié les “bouchons de réservoir”. Ça avait de la gueule, il y a cent ans !
Ici, toutes les stations essences affichent le même prix. Pratique, pas la peine de chercher la moins chère. Tu prends la première venue.
Dans la montagne, contrairement à la ville, pas de problème de parking. Ce n’est pas qu’il y a plus de place, non. Mais tu te poses sur la chaussée et on est bon.
Le madérien (ou madérois, les deux se disent) est détendu. Et pragmatique.
Vinci opère des aéroports, au Portugal. Je ne savais pas.
