Ou la ville des touristes fortunés.
Une fois passé le pont Sidney Poitier (qui était bahamien, vous le saviez ?), les véhicules paient un péage et on arrive dans un tout autre monde : Paradise island.

Ce pont, avec un second, relie cette petite île rattachée au nord-est de New Providence.

Là, tout est neuf, propre, à l’occidentale.

Les pelouses sont vertes, bien taillées.

Il y a de la place pour les bateaux des millionnaires.

Et il n’y a quasiment plus de bahamiens dans les rues. Des blancs presque uniquement (américains en grande partie si je ne me trompe pas d’accent), quelques asiatiques. Ça ressemble un peu à un parc d’attraction tellement la différence est saisissante.
D’ailleurs la vue du pont (si, si j’ai monté la pente à pied en plein soleil 🤤) fait un peu penser à Disneyland avec son hôtel corail en guise de château de Cendrillon.
La carte de la marina aussi, en fait.

Les tarifs vont avec l’endroit : sur une carte de restaurant les entrées sont à 20 US$ et certains plats jusqu’à plus de 100 US$. Inabordable pour un local et pour moi !
Bref, ça ne m’a pas plu. Je préfère le centre. J’ai vite fait demi tour.

