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De la tôle à la tonne

Où comment appeler “épave” un tas de ferraille.

Une dernière au Nitrox à 25m, sur le Ferrando, pour ne pas trop ajouter de saturation et dégazer plus vite.
Le vent souffle mais moins qu’hier après midi, on ne sera pas secoués.

A notre palanquée s’ajoute Bertrand qui plongeait avec Eric en début de semaine.
On se jette, on coule et on arrive tous les 3 à 24m tellement vite que c’est presque frustrant, comparé à la chute de ce matin pour atteindre les 50m. Et tout ça pour voir un tas de tôles genre Ramon meumbru …

On fouille à la recherche de vie, car l’épave n’a aucun intérêt, et on a tout de même un peu de chance : je débusque une murène, un congre et un petit crabe.
Thierry trouve une langouste mais tellement timide qu’on ne voit que les antennes.

Je m’amuse un peu dans les structures qui restent encore debout : la tête en bas je regarde dans les quelques trous dans les plaques d’acier et je finis par tomber sur une belle mostelle.

Fin de la partie. Palier sous le bateau, bien sagement, comme des écoliers.

Je rentre avec des images plein les yeux, des sensations en pagaille, un coup de soleil, du bronzage et de nouveaux amis.


Bertrand, Thierry, Didier, Frédérique et moi

Elle est pas belle la vie ?

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